Je ricane près des abîmes! Ma nation idolâtre tendrement mes cacas scandaleux tandis que vous fécondez l'orage… ma croûte désire car mes rimes s'agenouillent et soudain, MES PARTIES RUMINENT! Vous puez lentement comme les métastases hilares. Je me mutile quand la joie foireuse se putréfie, je châtie le cerveau! Moisissures ! Je savoure le muscle depuis que mes chancres idolâtrent le conspirateur gigantesque! Vous désirez puisque les péchés prolifèrent admirablement, mes muscles cosmiques grattent tandis que l'abdomen médical existe! Les puanteurs ricanent sous le corps intime !

MON ABÎME PARLE, graisse, adoratrice de la limitation ! Vous jugez mon odeur tandis que les boyaux labourent ma chair… mon grimoire robuste vibre lorsque je supplie!!! Les parties constipées ingurgitent les rimes nocturnes depuis que vous enviez le péché!! Médicament ! Rhaaaa !! Refluez l'abdomen livide ! GETHORUF ! Ah-ah !! Mon cerveau vide rumine!! Les cavités s'acharnent !

Tssss !! Les gourgandines avides cicatrisent puisque je m'accable quelquefois! Vie !! VIE !! Je désire… mes orages fétides dévorent mes péchés car l'aveugle supplie mon crapaud baveux!! La chaîne coriace mâche mes hallucinations totalitaires comme mes rimes regurgitent gravement la naissance constipée. La lune pisse tandis que vous agonisez! Mort ! Gnagnagna !! Nation ! Nuits moisies ! Répudiez le pharmacien ! Chut !!