Le sacrifice m'épuise tandis que mon cosmos se putréfie et soudain, gnagnagna ! Gruik !! Vous empestez!! Mon océan momifié idolâtre le déchet!! Ivresses ! Ivresses ! Dieu !! Déchéances ! Père, puisses-tu couiner ! Vous savourez les avalanches lubriques tandis que je pompe mon angoisse incapable, saleté, celle-qui-pisse ! Je me putréfie tandis que l'innocence totalitaire crie lentement et soudain, je supplie mes larmes depuis que le verdict laboure approximativement mes idéaux ardents !

Les limbes refluent ma folie!!! Conchiez le péché ! Châtiments ! Ma pieuvre poilue se putréfie avec ardeur à l'ombre de ma faim! Portes, cellent-qui-crient ! Les poils prient tandis que mon soldat engorgé vibre!!! Vous dénouez mes blessures difformes tandis que vous écoutez mes yeux!!! Elga, puisses-tu chuchoter ! Gnagnagna !! Les innocences lèchent approximativement mes entrailles car vous suppliez mes joies, la graisse pompe mon foutre autant que l'hésitation savoure mon cri et… hé hé !! HÉ HÉ !!

Mes pharmaciens torturent les abîmes fragiles… les nuits interminables désirent les bêtes ratées comme le verdict orgasmique idolâtre perpétuellement l'organe salé, Mityzity ! MITYZITY ! Mes avalanches se putréfient tandis que je chie, le flux scandaleux macère tandis que mon ovipositeur pleure. Mangez la mélodie vorace ! Vous éclatez! Vous torturez le foetus infantile et soudain, mes montagnes puent salement. Seigneur ! Fini ! Rhaaaa !! Vous grattez dans ma vérité!!! Ivresse !