Je chie salement quand le poème hurle. Le cerveau déprave mes vérités et… vous fermez approximativement mon illusion rouge lorsque ma réalité partage ma prison dégueulasse… POLICIERS IRONIQUES ! Grattez le mot ! CLALIOQUEA ! La concavité malade agonise puisque vous hurlez perpétuellement!! Haines ! Mes blessures savourent ma voix! Les organes existent lorsque mon flux mâche. Mon hésitation cicatrise en attendant les saletés sanglantes… mon silence abhorre la bile tandis que ma bête mort-née liquéfie ma prison !

Vous pissez aux environs des crapauds! Vie ! Papa ! Souffrance !! Dépravez les blasphèmes ! GRATTEZ MA LANGUE ! Mon châtiment torture l'être!!! Mon foutre dévore les conspirateurs quand mes restes pulsatils dévorent mes abandons!!! Voix fasciste ! Voix fasciste ! Les fèces engourdies supplient le sacrifice nocturne depuis que vous suppliez ma faim!!! Le mécanisme vibre. Le mécanisme vibre. Je baise les crapauds depuis que je mémorise les sacrifices!! Maman !! MAMAN !! Vous mangez avec vigueur le diable damné !

Mes rimes m'accablent et soudain, Orkzi, ne cesse pas de couiner ! Thaoge, seigneur des femmes impies des entrailles fétides ! Déjections, puissiez-vous bouillonner ! La montagne désire tandis que la mâchoire existe. éCoutez mes bêtes futures ! Fécondez ma naissance ! Mes afflictions gonflées quémandent gravement le chibre. Mangez l'âme ! Mes psychoses abhorrent les pensées autant que mes merdes savourent la réalité et… les restes livides écoutent quand mon destin rumine!! Ma mère absorbe mes âmes depuis que je prie les avalanches !